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L’alimentation en eau de la Banlieue de Lyon de 1856 à 1969, Les cahiers de Saint-Clair n°8

Auteur : Robert Jonac
L’eau à Lyon et la pompe de Cornouailles

Dès 1856, la ville de Lyon est alimentée en eau grâce à une ressource et un réseau créés de toutes pièces par la Compagnie Générale des Eaux, sous la tutelle de la Ville de Lyon, à travers un traité de concession signé le 8 août 1853. Une abondante littérature existe sur le sujet.

Mais qu’en était-il des communes proches de Lyon ?

À cette époque, aucune ne possédait de réseau d’alimentation en eau et les habitants s’approvisionnaient comme ils le pouvaient à des fontaines publiques, des puits ou des sources en fonction de leur lieu d’habitation.

Au fil des ans, à la faveur de l’accroissement de la population des banlieues, le problème se fit plus prégnant et l’exemple de Lyon donna des idées à beaucoup de municipalités. Petit à petit, grâce au savoir-faire de la Compagnie proposant des contrats à l’instar de la ville de Lyon, une toile se tissa autour de cette agglomération pour aboutir en 1928 à la création d’un syndicat des eaux regroupant 29 communes de la périphérie immédiate de la capitale des Gaules et dénommé Syndicat Intercommunal des Eaux de la Banlieue de Lyon (SIEBL).

C’est cette histoire que nous allons découvrir maintenant en nous limitant aux communes alimentées par ledit Syndicat.